Maintenant que la maladie est derrière nous, que tous mes co-confinés sont sortis d’affaire, je peux en parler plus librement : nous avons été mordus par l’insaisissable ennemi mondial numéro 1. Juste au début du confinement. Pas seulement confinés, covconfinés ! Mais grâce à nos vaillants anticorps et à Morphée, qui nous a bercés pendant deux semaines, il a pris ses petits récepteurs à son cou pour fuir notre camp de retranchement. Je souhaite désormais à tous les contaminés de ne pas être plus atteints que nous l’avons été par ce malfaisant.
Covid-19, un drôle de nom pour un truc aussi microscopique ! On dirait le titre d’un roman de Dan Brown ou de Bernard Werber. Peut-être l’un d’entre eux s’en inspirera-t-il d’ailleurs pour nous concocter une nouvelle intrigue policière sur fond de code génétique et de machination pharmaco-étatique.
Et combien d’autres romans vont être inspirés du confinement ? Il peut se passer tellement de choses dans ces huit-clos contraints… Il s’en passe d’ores et déjà, c’est certain, pour le meilleur et pour le pire.
Une affaire sanitaire et littéraire à suivre…




Origine est le titre de mon dernier tableau. Quand les mots ne suffisent pas ou manquent, les couleurs viennent à la rescousse.

Bise, bise, bise est le titre de ma dernière nouvelle postée sur le site Short Edition. Elle est en lice pour la saison Hiver 2020 du Grand Prix du Court. Un prix pour le plaisir et les encouragements, rien de plus, alors lisez-la et si elle vous plaît, votez pour elle et laissez-moi un commentaire ! Bises à vous.