Archives mensuelles : mai 2018

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J-1 avant la fin du concours Kobo-Préludes. Il est encore temps d’attribuer des étoiles à mon roman « Merci Gary Plotter » sur le Kobo Store et/ou sur Fnac.com (sur les 2 c’est encore mieux) !

Quelques étoiles de plus m’ouvriront peut-être une nouvelle voie… qui sait ? Et si vous étiez ma fée (ou mon bon génie) ?

Pour ceux qui pataugent : Connectez-vous simplement au site Kobo.com ou Fnac.com, cherchez la page de mon livre en tapant son titre dans la barre de recherche, ouvrez la page et vous trouverez un bouton « Donnez votre avis » en descendant dans la page. Vous pouvez rédiger un avis ou simplement cocher des étoiles.

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Keywords – technique mixte

Des mots, des mots, toujours des maux… J’ai repris mes pinceaux et mes couleurs pour des mots collés, des mots croisés, les mots des autres glanés dans des journaux. Parce qu’il me faut montrer la force du verbe face à l’obscurantisme, à l’ignorance et aux fausses croyances.

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Plus de 1000 téléchargements de mon roman « Merci Gary Plotter » à mi-mai ! En m’inscrivant au concours Kobo-Préludes, je visais – je rêvais ! – d’atteindre le millier de lecteurs. Objectif atteint en 4 mois, même si, évidemment, téléchargement ne signifie pas nécessairement lecture surtout quand l’e-book se télécharge gratuitement. Les avis, eux, sont rares (une cinquantaine), c’est dommage j’aurais préféré plus de retours.

Le concours va prendre fin à la fin du mois et au nombre d’avis, je ne ferai certainement pas partie des finalistes, mais je peux déjà dire que l’expérience a été belle. Oui, belle !

Quelle suite donner à la diffusion de ce livre quand les droits me reviendront dans quelques jours ? Je l’ignore encore.

 

couv-livres-380x260Ecrire c’est difficile, long, souvent douloureux, pas vraiment gratifiant, mais – hélas ? – nécessaire pour la plupart des écrivaillons.  Un peu comme celui, comme moi, qui boit du Coca alors qu’on sait tous que c’est du poison. D’autres fument des trucs plus ou moins végétaux ou font des machins pire encore, mais ce n’est pas la question.  Bref, pour la plupart des écrivants, il s’agit d’écrire parce que c’est vital, souvent ça fait du bien, parfois ça fait mal, mais c’est ainsi. Le problème vient ensuite : une fois le livre écrit, on veut le faire connaitre. C’est imparable ! A moins d’avoir un nom connu, de fréquenter (de très près !) un éditeur, c’est la galère. Sur son blog que je conseille (entre2 lettres.com), Pascal Perrat a écrit un article sur le sujet :  si-un-editeur-daigne-sinteresser-a-son-livre

Déprimant pour les auteurs ? Comme dit la FDJ, « 100% des gagnants ont tenté leur chance. »

 

 

 

en voiture simoneJ’ose l’avouer, je n’ai pas bien accroché. Pourtant j’apprécie la personnalité de l’auteure, j’admire la success story littéraire de cette jeune femme et depuis un moment j’avais envie de découvrir ce qui séduit tant de lecteurs dans son oeuvre. J’entendais dire que mon roman Merci Gary Plotter était « un peu pareil ». Il me fallait comprendre. Parmi les romans signés Aurélie Valogne, c’est « en voiture, Simone » qui s’est imposé, étant le seul immédiatement disponible en poche chez mon libraire. En quelques heures, je l’ai avalé. Parce qu’il se lit facilement, c’est indéniable, mais une fois le livre refermé, il ne m’en reste rien. Rien.  Un style, une intrigue pas tout à fait assez aboutis selon moi, peut-être (Mon Dieu, qui suis-je pour oser écrire cela ?) ou bien est-ce dû au fait que je n’ai pas (encore ?) de belles filles ? Je n’ai pas beaucoup ri non plus. Je crois qu’en film, je serais meilleur public. Il m’est étrange de penser cela, moi qui regrette si souvent les adaptations fades.

Mais je ne vais pas en rester là, non mais !, je vais lire Au petit bonheur la chance qui, selon de nombreuses critiques, est le meilleur ouvrage de cette écrivaine ou encore le tout premier Mémé dans les orties qui l’a lancée.

Pour être totalement honnête, j’ai retenu une phrase, si !, l’avant dernière, nichée dans la postface. Une très bonne amie m’a rappelé une chanson dans laquelle il est dit que pour réussir sa vie il fallait « planter un arbre, avoir un fils et écrire un livre ». J’ai vérifié, cette phrase serait attribuée au chanteur cubain Compay Segundo. La phrase est plus exactement : Pour réussir sa vie, un homme doit faire un enfant, écrire un livre et planter un arbre.

Je ne peux qu’être heureuse, j’ai fait deux enfants, écrit deux livres et planté plusieurs arbres. Merci Aurélie de me l’avoir rappelé.

 

Gunnar Knechtel Photography

Certains artistes sont bluffants. Je viens de découvrir l’oeuvre saisissante de David Bowen, Telepresent Water 

Il s’agit d’une sculpture cinétique dont le mouvement est animé par les données d’une Bouée située dans l’Océan Pacifique. Les capteurs transmettent en temps réel les oscillations de la surface et rendent tangible les mouvements de la mer.

Telepresent Water en video

Et j’en suis scotchée.

site officiel de l’oeuvre

Actuellement visible à l’Exposition 123 Data de la Fondation EDF.

Augmentation significouvv4cative du nombre de téléchargements de mon roman ces tout derniers jours. 20 pour la seule journée d’hier ! Effet « je garnis ma liseuse avant les vacances » ou « je profite des derniers jours de gratuité pour faire des réserves » ?

En revanche toujours aussi peu d’avis. De nombreux téléchargeurs donc, mais peu de lecteurs. Ou des lecteurs qui n’ont rien à en dire ?

Ca en fait des questions tout ça !

muguet

Pas folichon notre 1er mai cette année. Frisquet et gris. Mais le muguet, lui, a fleuri à temps et fait son apparition attendue sur les trottoirs.

Mais, au fait, pourquoi offre-t-on du muguet le 1er mai ? Et y-a-t-il un lien entre cette fleur et la Fête du Travail, célébrée également le premier jour du mois ?

Un article de LCI nous dit tout.

« Ce geste fleuri est répété chaque année, et son histoire remonte à un passé très, très lointain. Le muguet que l’on offre tous les ans le 1er mai, aussi appelé lys des vallées, une plante originaire du Japon, est présent en Europe depuis au moins le Moyen-Age. La plante à clochettes a toujours symbolisé le printemps et les Celtes lui accordaient un statut de porte-bonheur. Le 1er mai 1561, le roi Charles IX officialisa les choses. Ayant reçu à cette date un brin de muguet, il décida d’en offrir chaque année aux dames de la cour. La tradition était née.

Offrir du muguet ne deviendra toutefois populaire que le 1er mai 1900 lorsque, lors d’une fête organisée par les grands couturiers parisiens, toutes les femmes reçurent un brin de muguet. Les « petites mains » furent séduites par l’idée, et c’est ainsi que la fleur a pris sa dimension emblématique.

Pourquoi le 1er mai est-il aussi la Fête du travail ?

Le 1er mai, Fête du travail, tire quant à lui ses origines dans l’histoire du monde ouvrier. Le point de départ est le samedi 1er mai 1886. Ce jour-là, à Chicago, un mouvement revendicatif pour la journée de 8 heures est lancé par les syndicats américains. Une grève, suivie par 400.000 salariés, paralyse de nombreuses usines. La date du 1er mai n’avait pas été choisie au hasard : il s’agit du « moving day », le jour où, traditionnellement, les entreprises américaines réalisent les calculs de leur année comptable.

Trois ans plus tard, le congrès de la IIe Internationale socialiste se réunit à Paris pour le centenaire de la Révolution française. Il décide de faire du 1er mai une « journée internationale des travailleurs », avec pour objectif d’imposer la journée de huit heures. Une date choisie en mémoire du mouvement du 1er mai 1886 de Chicago.

Le muguet et la Fête du travail n’ont donc en réalité qu’un point en commun : le fait d’être célébrés le 1er mai. »

Article repris de LCI.com (daté du 1er mai)