L’une de mes pépites de ces derniers jours, ce roman d’Ingrid Naour ! Je ne saurais dire ce qui me réjouit le plus, d’avoir lu ce texte débordant de vie et d’humour ou d’avoir déniché cet ouvrage dans le rayonnage d’une bibliothèque d’hôtel. Les deux assemblés certainement comme un gâteau et sa cerise.
Quelle belle idée que cette bibliothèque bien fournie dans un hôtel paumé dans la campagne ! C’est le format du roman, je crois, qui m’a attirée. Une centaine de pages pour un court séjour, c’était jouable. Le titre aussi. Les trous de conjugaison, késako ? L’auteure que je ne connaissais pas, la collection qui n’était pas celle d’un roman de gare. Et la 4e de couverture évidemment que je vous livre en photo parce que je ne saurais faire mieux pour vous décrire ce texte à dévorer comme une bouchée au chocolat.
Au fait, il semble que les trous de conjugaison, ce sont des orifices situés de part et d’autre de la colonne vertébrale. Et quand les nerfs rachidiens qui y passent s’y coincent, ça fait très mal ! Voilà pour le sens propre. Quant au sens figuré que je suppose voulu par l’auteure, disons que notre héroïne, gourmandes des mots, les envoie pas mal virevolter ! Et c’est tordant.
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