couv-livres-380x260Ecrire c’est difficile, long, souvent douloureux, pas vraiment gratifiant, mais – hélas ? – nécessaire pour la plupart des écrivaillons.  Un peu comme celui, comme moi, qui boit du Coca alors qu’on sait tous que c’est du poison. D’autres fument des trucs plus ou moins végétaux ou font des machins pire encore, mais ce n’est pas la question.  Bref, pour la plupart des écrivants, il s’agit d’écrire parce que c’est vital, souvent ça fait du bien, parfois ça fait mal, mais c’est ainsi. Le problème vient ensuite : une fois le livre écrit, on veut le faire connaitre. C’est imparable ! A moins d’avoir un nom connu, de fréquenter (de très près !) un éditeur, c’est la galère. Sur son blog que je conseille (entre2 lettres.com), Pascal Perrat a écrit un article sur le sujet :  si-un-editeur-daigne-sinteresser-a-son-livre

Déprimant pour les auteurs ? Comme dit la FDJ, « 100% des gagnants ont tenté leur chance. »

 

 

 

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