Veiller sur elle

Comme la plupart des romans distingués par le Prix Goncourt, celui de Jean-Baptiste Andrea a suscité des avis divergents à foison.

Détracteur ou admirateur, chacun sa position. Je fais partie des seconds, j’ai bien accroché en lisant Veiller sur elle, une belle histoire d’amour contrarié entre Viola, une aristocrate, et Mimo, un nain de basse condition. Mimo est un talentueux sculpteur, Viola d’une remarquable intelligence. Entre ces deux êtres extraordinaires, « jumeaux cosmiques », née une amitié indéfectible dans une Italie de l’entre deux guerres qui voit la montée du fascisme.

 

Dans cette fresque romanesque, où la beauté habite chaque page, il est question de classes sociales, de féminisme, de pouvoir, d’argent, d’ambition, de politique, d’amour, d’amitié et d’art, bien entendu.

J’ai passé de belles heures aux côtés de Mimo et Viola, merci à mon amie Marie-Pierre de m’avoir offert ce beau voyage.

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