Elles sont tellement belles ces phrases que j’aurais pu les écrire dans un carnet, comme je m’y adonnais ado. Pour mieux les déguster, pour m’en imprégner. Des phrases poétiques qui mettent des mots justes sur des sentiments.
Je n’ai plus de carnet à phrases aujourd’hui, mais un téléphone avec lequel j’ai eu envie de les capturer pour vous les partager.
Tous ces passages proviennent du roman de Jon Kalman Stefansson, Ton absence n’est que ténèbres, dont j’ai déjà parlé. Rapidement. Que dire en effet sur un livre aussi puissant ? Rien.
Aussi je vous laisse lire les passages entre les traits jaunes. Je vous les offre à la façon d’un bouquet de fleurs. En nombre impair comme des roses.