Une semaine passée chez Les Mots, l’école d’écriture. Cinq après-midi pour prendre du recul sur ses écrits et s’y replonger en même temps. Neuf compagnons d’écriture et un écrivain, Sébastien Spitzer.
Le plaisir de s’adonner à sa passion, la souffrance de comprendre vers quoi tendre sans en trouver les ressorts. L’écriture est une longue quête, on le sait.
« Les fausses jumelles », manuscrit relégué dans les entrailles d’un traitement de textes depuis dix ans, va bien retrouver la lumière sous les traits d’une paire de jumeaux. Tout le récit est à reprendre, tout est à reconstruire mais les personnages sont bien là, déjà.