Pour la nouvelle année, mon amie Nicole m’a offert ce livre de Martin Page, sans l’avoir lu (ce qui 41CoxfwyAJL._SX195_n’est pas dans ses habitudes), juste pour son sujet qui ne pouvait que m’intéresser. Et elle avait vu juste !

Présentation de l’éditeur : « Dans ce livre, Martin Page répond aux interrogations d’une jeune écrivaine. Elle s’appelle Daria, elle veut écrire un roman. Au fil de leurs échanges, il lui donne des conseils d’écriture, mais surtout il esquisse des moyens de se débrouiller avec le monde, avec le milieu littéraire, avec ses propres névroses et fragilités. C’est d’abord un livre sur la réalité des écrivains d’aujourd’hui : l’envoi d’un manuscrit, les rapports avec les éditeurs, et avec les autres auteurs, l’argent, la maladie (…) Il s’agit de concilier l’exigence d’une pratique artistique et la vie quotidienne.
Au fil de ce dialogue, Martin Page dessine une sorte d’autoportrait. Entre dépression et exaltation, il nous parle de l’art sauvage de l’écriture, un art encore jeune, riche de possibilités. Sans escamoter la dureté sociale ni la réalité des coups et des blessures, il défend l’imagination comme forme de résistance. Pour lui, la littérature est un sport de combat autant qu’un des grands plaisirs de l’existence. »

La modeste auteure que je suis s’est retrouvée dans des observations ou interrogations de l’auteur. Ses propos ont conforté certains de mes points de vue et m’ont encouragée, aussi. Surtout.

Je dois avoir avouer que je ne connaissais pas Martin Page et j’ai découvert là un auteur sensible, plein d’humilité, ouvert aux autres et à leurs difficultés, que j’espère rencontrer un jour.

Son blog  : http://www.martin-page.fr/

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