Archives de catégorie : Billet

couv-livres-380x260Ecrire c’est difficile, long, souvent douloureux, pas vraiment gratifiant, mais – hélas ? – nécessaire pour la plupart des écrivaillons.  Un peu comme celui, comme moi, qui boit du Coca alors qu’on sait tous que c’est du poison. D’autres fument des trucs plus ou moins végétaux ou font des machins pire encore, mais ce n’est pas la question.  Bref, pour la plupart des écrivants, il s’agit d’écrire parce que c’est vital, souvent ça fait du bien, parfois ça fait mal, mais c’est ainsi. Le problème vient ensuite : une fois le livre écrit, on veut le faire connaitre. C’est imparable ! A moins d’avoir un nom connu, de fréquenter (de très près !) un éditeur, c’est la galère. Sur son blog que je conseille (entre2 lettres.com), Pascal Perrat a écrit un article sur le sujet :  si-un-editeur-daigne-sinteresser-a-son-livre

Déprimant pour les auteurs ? Comme dit la FDJ, « 100% des gagnants ont tenté leur chance. »

 

 

 

en voiture simoneJ’ose l’avouer, je n’ai pas bien accroché. Pourtant j’apprécie la personnalité de l’auteure, j’admire la success story littéraire de cette jeune femme et depuis un moment j’avais envie de découvrir ce qui séduit tant de lecteurs dans son oeuvre. J’entendais dire que mon roman Merci Gary Plotter était « un peu pareil ». Il me fallait comprendre. Parmi les romans signés Aurélie Valogne, c’est « en voiture, Simone » qui s’est imposé, étant le seul immédiatement disponible en poche chez mon libraire. En quelques heures, je l’ai avalé. Parce qu’il se lit facilement, c’est indéniable, mais une fois le livre refermé, il ne m’en reste rien. Rien.  Un style, une intrigue pas tout à fait assez aboutis selon moi, peut-être (Mon Dieu, qui suis-je pour oser écrire cela ?) ou bien est-ce dû au fait que je n’ai pas (encore ?) de belles filles ? Je n’ai pas beaucoup ri non plus. Je crois qu’en film, je serais meilleur public. Il m’est étrange de penser cela, moi qui regrette si souvent les adaptations fades.

Mais je ne vais pas en rester là, non mais !, je vais lire Au petit bonheur la chance qui, selon de nombreuses critiques, est le meilleur ouvrage de cette écrivaine ou encore le tout premier Mémé dans les orties qui l’a lancée.

Pour être totalement honnête, j’ai retenu une phrase, si !, l’avant dernière, nichée dans la postface. Une très bonne amie m’a rappelé une chanson dans laquelle il est dit que pour réussir sa vie il fallait « planter un arbre, avoir un fils et écrire un livre ». J’ai vérifié, cette phrase serait attribuée au chanteur cubain Compay Segundo. La phrase est plus exactement : Pour réussir sa vie, un homme doit faire un enfant, écrire un livre et planter un arbre.

Je ne peux qu’être heureuse, j’ai fait deux enfants, écrit deux livres et planté plusieurs arbres. Merci Aurélie de me l’avoir rappelé.

 

Augmentation significouvv4cative du nombre de téléchargements de mon roman ces tout derniers jours. 20 pour la seule journée d’hier ! Effet « je garnis ma liseuse avant les vacances » ou « je profite des derniers jours de gratuité pour faire des réserves » ?

En revanche toujours aussi peu d’avis. De nombreux téléchargeurs donc, mais peu de lecteurs. Ou des lecteurs qui n’ont rien à en dire ?

Ca en fait des questions tout ça !

muguet

Pas folichon notre 1er mai cette année. Frisquet et gris. Mais le muguet, lui, a fleuri à temps et fait son apparition attendue sur les trottoirs.

Mais, au fait, pourquoi offre-t-on du muguet le 1er mai ? Et y-a-t-il un lien entre cette fleur et la Fête du Travail, célébrée également le premier jour du mois ?

Un article de LCI nous dit tout.

« Ce geste fleuri est répété chaque année, et son histoire remonte à un passé très, très lointain. Le muguet que l’on offre tous les ans le 1er mai, aussi appelé lys des vallées, une plante originaire du Japon, est présent en Europe depuis au moins le Moyen-Age. La plante à clochettes a toujours symbolisé le printemps et les Celtes lui accordaient un statut de porte-bonheur. Le 1er mai 1561, le roi Charles IX officialisa les choses. Ayant reçu à cette date un brin de muguet, il décida d’en offrir chaque année aux dames de la cour. La tradition était née.

Offrir du muguet ne deviendra toutefois populaire que le 1er mai 1900 lorsque, lors d’une fête organisée par les grands couturiers parisiens, toutes les femmes reçurent un brin de muguet. Les « petites mains » furent séduites par l’idée, et c’est ainsi que la fleur a pris sa dimension emblématique.

Pourquoi le 1er mai est-il aussi la Fête du travail ?

Le 1er mai, Fête du travail, tire quant à lui ses origines dans l’histoire du monde ouvrier. Le point de départ est le samedi 1er mai 1886. Ce jour-là, à Chicago, un mouvement revendicatif pour la journée de 8 heures est lancé par les syndicats américains. Une grève, suivie par 400.000 salariés, paralyse de nombreuses usines. La date du 1er mai n’avait pas été choisie au hasard : il s’agit du « moving day », le jour où, traditionnellement, les entreprises américaines réalisent les calculs de leur année comptable.

Trois ans plus tard, le congrès de la IIe Internationale socialiste se réunit à Paris pour le centenaire de la Révolution française. Il décide de faire du 1er mai une « journée internationale des travailleurs », avec pour objectif d’imposer la journée de huit heures. Une date choisie en mémoire du mouvement du 1er mai 1886 de Chicago.

Le muguet et la Fête du travail n’ont donc en réalité qu’un point en commun : le fait d’être célébrés le 1er mai. »

Article repris de LCI.com (daté du 1er mai)



 

beaux joursL’envie a jailli par surprise, comme une giboulée de mars après un rayon de soleil. Les beaux jours étaient là et il fallait que je les fête.

Parce que l’hiver a été particulièrement long cette année ? Parce que le printemps est arrivé aussi chaud qu’un été ?

« En avril ne te découvre pas d’un fil. » C’était bon, ça, avant le dérèglement climatique. Aujourd’hui on porte des bottes en août et une jupe en coton à Noël. La mode l’a bien compris. Les saisons sont devenues coquines.

Bonne raison ou pas, les beaux jours attendaient un signe de ma part. Il fut multiple : j’ai sorti du placard mes sandales, me suis fait une pédicure pour aérer mes orteils, ai collé un nouveau sticker smiley sur mon ordi, me suis offert une lampe nomade pour mieux profiter de mon balcon en soirée, ai coupé les mauvaises herbes dans les jardinières (je ne désherbe plus pour faire plaisir aux bébêtes)… Ah…, ça fait du bien d’accueillir le beau temps !

couvv4 Je vous rappelle que mon livre est en lice pour le concours « Kobo by Fnac – Préludes » et que le jury s’appuie en premier lieu sur le nombre d’avis positifs déposés sur les sites Kobo et/ou Fnac.

Aussi j’ai besoin de votre avis et de ceux de votre entourage d’ici le 3 mai (fin du concours) si vous avez aimé un peu ou beaucoup cette histoire.

Car aujourd’hui le livre a été téléchargé quelque 300 fois mais seuls 18 avis ont été déposés (9 sur la Fnac, 9 sur Kobo). C’est bien, d’autant que les commentaires sont très bons, mais pas suffisant pour sortir du lot. Alors merci à ceux qui se sont déjà lancés, et merci par avance aux autres qui vont répondre à cet appel.

Si vous n’avez pas encore téléchargé l’e-book, revoici le lien vers la page Fnac

Si vous n’avez pas réussi à le télécharger, voici grosso modo le principe :

Vous créez un compte client sur le site Fnac, si vous n’en avez pas déjà un, et vous achetez le livre. Vous validez le paiement même s’il est à 0 €. Le site peut vous proposer de télécharger le logiciel Kobo, acceptez. Vous devez au préalable avoir choisir sur quel appareil vous allez lire le livre (PC, Tablette, smartphone). Téléchargez la version adéquate. A défaut ou si ça ne fonctionne pas, quittez le site Fnac et installez l’appli ou le logiciel Kobo depuis l’appareil sur lequel vous allez lire l’e-book comme n’importe quelle appli (tablette ou smartphone) ou logiciel (PC). Ensuite retournez dans votre compte client Fnac, dans « Mes commandes », et téléchargez l’e-book. Ouvrez ensuite votre appli Kobo, soit elle fait seule la synchronisation, soit il vous faudra associer vos comptes Fnac et Kobo pour qu’elle la fasse. L’e-book doit alors se trouver dans votre bibliothèque Kobo. Vous n’avez plus qu’à cliquer dessus pour lancer la lecture. Quand ca ne fonctionne pas bien, il faut refaire les étapes. En s’acharnant on y parvient. Utiliser la même adresse mail pour les comptes Fnac et Kobo simplifie le process.

Et enfin, si vous ne vous êtes pas encore lancé dans la lecture, sachez qu’il suffit de 4 à 5 heures pour arriver au bout.

A bientôt

 

 

plotter Mais qui est donc Gary Plotter ? Le parallèle avec Harry Potter n’aura évidemment pas échappé aux lectrices et lecteurs. Et même si la probabilité que l’existence de mon livre parvienne un jour aux oreilles de la grande J.K. Rowling relève du fantasme, il n’était évidemment pas question de prendre le moindre risque de la chatouiller (et ses avocats encore moins !) .

Après avoir écrit le livre, et même réécrit et encore réécrit, sous le titre de Merci Harry Potter, il m’a fallu en changer tout en laissant évidente la similitude. J’ai opté pour Gary, un prénom courant bien que vieillot au Royaume Uni, et Platter parce que la ressemblance avec Potter était claire mais pas trop affichée.

Et j’ai réécrit et encore réécrit l’histoire avec cette identité. Et même créé la couverture ! Je vous la monterai un jour… Et c’est là qu’est intervenue mon amie Nicole. Après avoir corrigé les dernières coquilles, être intervenue sur le texte de présentation, elle a déclaré que Platter était un nom déjà utilisé dans la littérature et qu’il valait mieux en changer. Eh bien oui : le siècle des Platter ! Il n’y a vraiment qu’elle pour aller chercher un détail pareil, et c’est bien pour cela qu’elle est mon indispensable première lectrice. Et elle a proposé Plotter. Conspirateur en anglais. L’évidence !

Gary Conspirateur.

 

Je suis satisfaite, le congé de Noël m’a offert le temps nécessaire pour rouvrir une boutique sur le site Ungrandmarche.fr (suite à la fermeture de alittlemarket).

Son nom ? aXessoires, comme la précédente.

ungrandmarche

J’y propose les bijoux et autres créations que je confectionne quand l’envie me prend. Pour le moment, elle n’est pas bien remplie mais au fur et à mesure je vais y intégrer tout ce que mes tiroirs renferment. Et les bijoux ne manquent pas !

Une première visite ? C’est par là : boutique aXessoires

 

2new-year-2018018 commence tout juste, nous offrant 12 nouveaux mois. Qu’allons-nous en faire ? Il appartient à chacun de le définir. Pour ma part, point de résolutions, je préfère les objectifs. Pour reprendre le titre de l’article de Marianne Jaegler – et je salue la qualité des articles de son blog au passage -, « En 2018, j’écris ! » Objectifs : publier Merci Gary Platter et terminer l’écriture de Le voisin d’en haut. Bon ben je n’ai plus qu’à m’y mettre !

Excellente année à vous, qu’elle puisse vous permettre de réaliser vos rêves et assouvir vos passions !