Tous les articles par Fabienne Vincent-Galtié - Auteure

muguet

Pas folichon notre 1er mai cette année. Frisquet et gris. Mais le muguet, lui, a fleuri à temps et fait son apparition attendue sur les trottoirs.

Mais, au fait, pourquoi offre-t-on du muguet le 1er mai ? Et y-a-t-il un lien entre cette fleur et la Fête du Travail, célébrée également le premier jour du mois ?

Un article de LCI nous dit tout.

« Ce geste fleuri est répété chaque année, et son histoire remonte à un passé très, très lointain. Le muguet que l’on offre tous les ans le 1er mai, aussi appelé lys des vallées, une plante originaire du Japon, est présent en Europe depuis au moins le Moyen-Age. La plante à clochettes a toujours symbolisé le printemps et les Celtes lui accordaient un statut de porte-bonheur. Le 1er mai 1561, le roi Charles IX officialisa les choses. Ayant reçu à cette date un brin de muguet, il décida d’en offrir chaque année aux dames de la cour. La tradition était née.

Offrir du muguet ne deviendra toutefois populaire que le 1er mai 1900 lorsque, lors d’une fête organisée par les grands couturiers parisiens, toutes les femmes reçurent un brin de muguet. Les « petites mains » furent séduites par l’idée, et c’est ainsi que la fleur a pris sa dimension emblématique.

Pourquoi le 1er mai est-il aussi la Fête du travail ?

Le 1er mai, Fête du travail, tire quant à lui ses origines dans l’histoire du monde ouvrier. Le point de départ est le samedi 1er mai 1886. Ce jour-là, à Chicago, un mouvement revendicatif pour la journée de 8 heures est lancé par les syndicats américains. Une grève, suivie par 400.000 salariés, paralyse de nombreuses usines. La date du 1er mai n’avait pas été choisie au hasard : il s’agit du « moving day », le jour où, traditionnellement, les entreprises américaines réalisent les calculs de leur année comptable.

Trois ans plus tard, le congrès de la IIe Internationale socialiste se réunit à Paris pour le centenaire de la Révolution française. Il décide de faire du 1er mai une « journée internationale des travailleurs », avec pour objectif d’imposer la journée de huit heures. Une date choisie en mémoire du mouvement du 1er mai 1886 de Chicago.

Le muguet et la Fête du travail n’ont donc en réalité qu’un point en commun : le fait d’être célébrés le 1er mai. »

Article repris de LCI.com (daté du 1er mai)



 

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2 étoiles – Ennui

 Un titre accrocheur mais pour le reste beaucoup d’ennui. C’est dommage.

J’ignore qui vous êtes Fdela, mais par votre  commentaire peu élogieux sur « Merci Gary Plotter » via le site de la Fnac, vous confirmez qu’aucune création ne peut faire l’unanimité.  Les avis jusque-là excellents m’inquiétaient un peu, je dois l’avouer, car je craignais que seuls mes amis, tout acquis à mes tentatives littéraires, ne s’intéressent à ma prose.

En quelque sorte, vous crédibilisez les avis des autres. Merci !

Cette situation ne rappelle-t-elle pas aux lecteurs de « Point à la ligne » le travail de Violette sur la toile ? Mais j’espère bien qu’il s’agit ici d’un avis sincère.

beaux joursL’envie a jailli par surprise, comme une giboulée de mars après un rayon de soleil. Les beaux jours étaient là et il fallait que je les fête.

Parce que l’hiver a été particulièrement long cette année ? Parce que le printemps est arrivé aussi chaud qu’un été ?

« En avril ne te découvre pas d’un fil. » C’était bon, ça, avant le dérèglement climatique. Aujourd’hui on porte des bottes en août et une jupe en coton à Noël. La mode l’a bien compris. Les saisons sont devenues coquines.

Bonne raison ou pas, les beaux jours attendaient un signe de ma part. Il fut multiple : j’ai sorti du placard mes sandales, me suis fait une pédicure pour aérer mes orteils, ai collé un nouveau sticker smiley sur mon ordi, me suis offert une lampe nomade pour mieux profiter de mon balcon en soirée, ai coupé les mauvaises herbes dans les jardinières (je ne désherbe plus pour faire plaisir aux bébêtes)… Ah…, ça fait du bien d’accueillir le beau temps !

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C’est le titre du concours auquel je participe. Plus de 350 manuscrits ont été déposés, alors c’est le moment de se faire plaisir avec de nombreuses lectures gratuites à portée de clic. Lisez, soutenez, découvrez… jusqu’au 31 mai.

Tout est expliqué, là : concours Kobo

Cahors_pont_valentre_pano (1)Dans la nouvelle intitulée « Rencontre e-nattendue » de Point à la ligne, je cite la légende du Pont Valentré, l’emblème de Cahors, la ville de mon enfance. Connaissez-vous ce pont au petit diable de pierre ? Quand j’étais collégienne puis lycéenne, je le traversais quatre fois par jour en voiture ou cyclomoteur. Il est piétonnier aujourd’hui.

Son histoire, sa légende : Le pont Valentré à Cahors

 

couvv4… pour découvrir (gratuitement) l’intégralité de mon roman « Merci Gary Plotter » (version e-book) et donner votre avis.

Les avis sont pris en compte jusqu’au 31 mai dans le cadre du concours Kobo-Préludes.

Pensez-y !

Comment procéder :

  • Commander l’e-book sur le site de la Fnac (commande à 0€, pas besoin de carte bleue !)
  • Ouvrir un compte client Kobo (Rakuten)
  • Télécharger le logiciel ou l’appli Kobo depuis l’appareil (tablette, smartphone, PC…) sur lequel vous voulez lire l’e-book.
  • Dans son compte client Fnac, aller dans « mes commandes » et télécharger l’e-book.
  • Rouvrir votre appli Kobo. Si la synchronisation ne se fait pas automatiquement, demander à associer vos comptes Fnac et Kobo.
  • Il ne vous reste plus qu’à aller chercher le livre dans « mes livres » et à commencer la lecture.
  • Et ne pas oublier de déposer un avis sur les sites Fnac et Kobo. Merci !
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Au salon du livre de Paris – Mars 2018

Je viens de m’enregistrer sur Babelio en tant qu’auteure (et lectrice). Un bon moyen, il me semble (j’espère), d’interagir avec des lecteurs. Pour le moment, ma seule publication affichée est « Point à la ligne ».

Si vous avez lu ce recueil de nouvelles, êtes peut-être même déjà adepte de Babelio, n’hésitez pas à donner votre avis et engager des discussions. Je serais ravie d’y participer.

 

evaLe scénario de ce nouveau film de Benoit Jacquot a des similitudes avec celui de mon roman en cours d’écriture : l’écrivain en panne d’inspiration qui cherche à retranscrire ce qu’il vit dans ses écrits et le désir à sens unique. Mais quelle déconvenue ! Je suis passée outre les critiques tièdes pour le plaisir de retrouver Isabelle Huppert et Gaspard Ulliel. Mais je me suis ennuyée. Il n’y a aucune tension, ou si peu. Un thriller sexuel parait-il, mais sans sexe ni meurtre, seulement indirectement ou par suggestion.

Un seul mot : décevant.

17309264_10154417414542544_4252322407467712619_n« Point à la ligne » a été lancé il y a tout juste un an, le 20 mars 2017, lors d’une soirée au siège des éditions Abordables. Quelle aventure !

Depuis, il y a eu la participation à deux salons du livre, la « nomination » au prix Lea et de belles rencontres, surtout.

« Point à la ligne » poursuit son petit chemin. Il est désormais expurgé de ses coquilles, ouf !, et est maintenant référencé correctement par la Fnac. Deux victoires.

Car j’ai connu quelques désillusions depuis ce lancement, c’est certain, mais aussi des satisfactions. Et par dessus tout, ce que je retiens c’est le sentiment de m’être embarquée durablement dans une nouvelle aventure.

E20Salon du livre de Paris, Vendredi 16 mars 2018, 16h. Céline Willocq me laisse sa place sur le stand des Editions Abordables (LEA) sous la pression de la foule qui m’attend pour une dédicace de « Point à la ligne ».

Une heure et demi plus tard, il faut se rendre à l’évidence, le succès est indéniablement au rendez-vous : deux dédicaces. Une seule, pour être honnête, car la seconde est pour mon voisin de table (Régis Widemann qui dédicace Itinéraire d’un pied blanc, gris, noir). Trop facile. Une seule donc, mais pour une future lectrice qui m’a semblé très motivée. Elle m’a promis un retour via ce blog. J’ai hâte !

Cette fin d’après-midi a également été enrichissante grâce aux échanges avec certains membre de l’équipe Léa, avec quelques auteurs, avec des lecteurs et avec mon amie Nicole. Merci à tous.

Et vivement le salon 2019 pour exploser le compteur !