
Les mères seront fêtées le 30 mai cette année. Pour cette occasion, je vous propose mes romans avec 10% de réduction en vente directe en mentionnant « offre fête des mères » en commentaire.
Les mères seront fêtées le 30 mai cette année. Pour cette occasion, je vous propose mes romans avec 10% de réduction en vente directe en mentionnant « offre fête des mères » en commentaire.
Une intéressante réflexion sur la place du livre, le rôle de la lecture, des écrivains et des lecteurs nourrie d’illustrations piochées dans la littérature et la peinture.
Eloge du livre de Pascal Dethurens.
Merci à mon fiston pour ce joli cadeau !
Un bien délicat présent que m’a fait une amie, ces cinq opus de Aki Shimazaki de la série Au coeur du Yamato. Des récits courts, une grosse centaine de pages pour chacun, dans un style limpide telle une chronique de la vie au Japon qui nous entraîne entre modernité et traditions. Un joli voyage en ces temps de restrictions touristiques.
Je viens d’apprendre, sans surprise et avec une bonne dose de contentement je dois avouer, la faillite de Les Editions Absolues (LEA), la maison née sur les cendres de Les Editions Abordables (LEA) (éditeur de mon premier ouvrage Point à la ligne, un vrai fiasco !), par un tour de passe-passe (LEA vs LEA, ah, ah !) dont le principal protagoniste a le secret.
(J’espère que ne renaitra pas une 3e LEA du style Les Editions Arnaques, mais au moins les auteurs et les lecteurs sauraient à quoi s’attendre…)
Loin de moi, habituellement, l’envie de me réjouir d’une faillite, bien au contraire. Cependant l’édition est un milieu bien particulier avec, pour schématiser, les grands éditeurs, inabordables, les petits qui font ce qu’ils peuvent avec plus ou moins de réussite et les véreux qui font rêver les auteurs telle que je suis en promettant la lune et les étoiles.
Un auteur met ses tripes dans son récit, sacrifie des heures et des heures à l’écriture, rêve, peut-être naïvement, de séduire des lecteurs mais met tout son coeur dans cette perspective alors, quand il se retrouve entre les pattes d’un escroc, c’est ô combien douloureux, ô combien désespérant, le plus souvent irrécupérable. Un énorme travail passé à la trappe. Parfois celui d’une vie. J’ai connu l’accablement devant mon premier roman massacré par l’éditeur, espérant qu’il ne le vende pas ! Un comble. J’avais tellement honte du résultat, de ce qu’allaient penser les lecteurs inévitablement déçus. Et j’ai su depuis n’être pas la seule auteure dans cet état d’esprit alarmant. Combien d’auteurs ont été brisés par ces charlatans ?
Alors oui, j’espère qu’un jour mon éditeur viendra. Un vrai éditeur qui saura m’accompagner. En attendant, j’ai choisi l’autoédition pour la liberté qu’elle me procure afin de rencontrer mes lecteurs comme bon me semble et pouvoir leur apporter la qualité qu’ils méritent. Et s’il y a des imperfections (hélas…), je suis à même de les corriger sans délai. Voilà pourquoi je suis friande de vos retours, chers lecteurs !
La vente en direct est à la mode en ces temps de pandémie. On redécouvre le pouvoir des rencontres, le bienfait des relations humaines, de la proximité. Ce n’est pas Marie, l’héroïne de Merci Gary, qui vous dira le contraire… (clin d’oeil)
La poste semblant plus accessible, je suis ravie de proposer à nouveau une vente en direct de mes romans brochés. L’occasion de quelques échanges avec des lecteurs, futurs ou déjà fidèles.
Vous pouvez ainsi soit les commander auprès d’Amazon soit me les commander directement. Tarifs, conditions, avantages et inconvénients, tout est expliqué sur la page Se procurer mes livres. A votre dispo !
Une lectrice attentive a eu la gentillesse de me signaler la présence de trois coquilles dans la dernière version de Le voisin du 7e. Les voilà corrigées !
Je présente mes excuses aux lecteurs qui auraient été agacés par ces erreurs et remercie d’avance tous ceux qui me font le plaisir de me contacter pour me parler de mes romans, de ce qu’ils en ont pensé, de ce qu’ils ont aimé et moins aimé.
A très bientôt j’espère !
Mon dernier enregistrement datait du 13 novembre. J’ai rouvert le fichier Word ce 24 février. Un peu plus de trois mois loin de mon manuscrit en cours, le temps nécessaire de prendre soin de moi. Je viens de retrouver mes personnages et j’en suis émue. Un peu effrayée aussi tant il est difficile de s’y remettre, de se réapproprier l’histoire. Mais tout remonte peu à peu dans mon imaginaire, il me faut maintenant m’imposer un rythme d’écriture et bien m’y tenir !
A l’entrée de mon domicile, ma collection de porte-bonheur, constituée au fil des ans et des opportunités. Avec tout ça, que pourrait-il m’arriver de grave, n’est-ce pas ? 🙂
En cette veille de St-Valentin, j’ai envie de partager avec vous la découverte de ce roman de Amanda Sthers (Le vieux juif blonde, c’est elle !). Un récit en forme de lettre, émouvant, poignant parfois, toujours délicat et poétique. Et une ode à l’amour.
Alice est brisée par la vie. Sa rencontre avec un masseur japonais la réconciliera avec son corps, avec elle-même. Avec l’amour, certainement. Une friandise d’une centaine de pages à déguster dans la chaleur d’un intérieur confortable.